Vous voulez avoir raison, grand bien vous fasse. Cependant plusieurs raisons :
1- la vocation de la CDc n’est pas de prendre, n’a jamais été de prendre des participations pour sauver les banque (Dexia). Cela ne ait pas partie de ses attributions. Elles doit prendre des participation non pour sauver mais pour développer à long terme. La preuve en est malgré la baisse de la bourse les provisions pour ce portefeuille sont nettement inférieures à celle de DEXIA et Effiage. En revanche c’est la volonté de Sarkozy d’utiliser cette société pour en faire une sorte de fonds souverain à la française.
2- votre argument comme quoi tant que ce n’est pas vendu cela ne compte pas. Je vais vous faire deux réponses : a- c’est la règle comptable et ce sont des pertes et la provision pour dévalorisation d’actifs qu’ils soient boursiers ou autres (stock) font partie de la vie économique et malgré ces provisiosn autre fois (la bourse a aussi baissé en 2007, c’est la première fois à comptabilité égale. b- si ela n’avait pas tant d’incidence expliquez moi pourquoi il a fallu recapitaliser des banques qui ont fait elles aussi des pertes virtuelles et non réelles. Ensuite, je ne sais si vous avez dirigé une entreprise, mais si vous l’avez fait j’aimerais savoir comment vous pourriez, dans une situation normale, même pas en matière de crise internationale, aller négocier un prêt avec un bilan avec des pertes et allez lui expliquer à ce banquier que ce n’est pas grave que ce n’est que virtuel. Et pour preuve, les milliardaires russes se sont développés par des emprunts auprès des banques, emprunts cautionnés par les portefeuilles boursiers. La bourse de Moscou a perdu 85 %. Les banques ont réclamé immédiatement les remboursement entraînant des faillites en cascade. Mais vous qui êtes si fort vous auriez réussi à les convaincre que finalement ce n’est as grave tant que les actions ne sont as venus c’est du virtuel. En fait vous défendez ce système virtuel. Vous faites parties de ceux qui expliquaient que la crise virtuelle n’entraîneraient pas la crise financière qui n’entraînerait pas la crise économique.