tout cela est bien confus (oui, votre prose aussi, aussi utile soit-elle).
L’abus de confiance, je crois comprendre : on reproche à Florian Bourges d’avoir manquer à ses obligations à l’égard d’Arthur Andersen (et de son client Clearstream ?). C’est bien ça ? le reproche n’est pas dépourvu de fondement, il me semble ; en bonne logique (en tout cas dans la logique judiciaire, si j’ai bien compris), s’il soupsonnait une malversation, avant vous c’est la police/justice qu’il aurait du saisir (quitte à vous informer ensuite et par ailleurs) : ne pas l’avoir fait laisse penser que votre informateur supposait qu’il n’y avait pas matière à poursuites judiciaires, donc qu’il n’avait pas de motif à rompre ses obligations de secret professionnel. Dommage...
Le recel, j’ai plus de mal. Je croyais que le recel consistait à dissumuler la chose ; or vous avez fait tout le contraire ! Et puis alors pourquoi l’éditeur, les libraires, voire les lecteurs et même carrément tous les internautes et leurs fournisseurs d’accès ne sont-ils pas inclus dans le recel ? Ca existe, le recel de recel ?
Expliquer nous un peu mieux, sur le plan juridique
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