A l’approche de la mort, Socrate déclarera devoir un coq à Asclépios, dieu de la médecine. Est-ce pour remercier ce dieu d’avoir eu une bonne vie ? Non, au contraire pour le remercier de le délivrer de la vie. Croire qu’un vieux bougre difforme doué d’un tel esprit critique qu’aucune misère ou bêtise humaine ne lui échappa put être heureux, voilà un exemple de l’irrationnel optimisme ancré au cœur de la raison.
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