Lorsqu’un conflit éclate, la préservation de la biodiversité n’est pas
perçue comme une priorité. Pour Guy Debonnet, spécialiste du patrimoine
naturel au sein du Centre du patrimoine mondial de l’UNESCO, il est
pourtant possible d’agir pour éviter des dégâts irréversibles. LaRDCest considérée comme unpays fragile, en situation de post-conflit.