Ce qui est arrivé à Dijon dépasse de loin les protagonistes pichrocoliens qui nous cassent les oreilles.
Quand on n’est plus d’accord sur rien par manque d’intérêt aux idées et que le monde n’attend pas, il reste les petits égos.
Comme la droite n’est guère plus brillante, la France pourrait être une proie pour un populiste de bas étage.
Bercusconi doit regretter d’être déjà pris en Italie !
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