Merci à M. Mandon, l’auteur. C’était juste pour ajouter une touche étrangère à l’hommage qui sied à un grand type. Après Brel, c’est la deuxième fois que j’ai été pris de tristesse à la mort d’un artiste d’Occident. Ferrat avait fait de la révolte une hygiène de vie.