Des Capet, j’en ai connu en Picardie. Mais c’est, semble-t-il, dans le Nord-Pas de Calais qu’ils sont les plus nombreux, bien que ce nom soit peu courant.
Peu courant mais pas rarissime, et sans doute y avait-il, proportionnellement à la population, nettement plus de Capet au 18e siècle que de nos jours, eu égard au brassage des peuples et à l’apport sur le territoire national de très nombreux patronymes d’origine étrangère qui ont contribué à raréfier les noms les moins portés.
Bien qu’un peu plus porté que Capet, le nom Prieur, désormais lui aussi très peu répandu, était relativement courant à la fin du 18e siècle. Au point que l’on a vu, à la même époque, trois Prieur célèbres : deux conventionnels, Pierre-Louis Prieur (dit Prieur de la Marne) et Claude-Antoine Prieur-Duvernois (dit Prieur de la Côte d’Or), sans oublier le talentueux... peintre Jean-Louis Prieur.
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