Effectivement, les notes n’évaluent pas l’élève dans sa globalité, ni sa gentillesse, son imagination, son caractère, etc.
Pour les chiffres, la source est la même, l’article du Nouvel obs cité plus haut ; a priori, ça me semble logique que les épreuves du bac soient plus faciles à standardiser en maths et sciences qu’en français et philo.
Le redoublement sans soutien entraîne évidemment des difficultés l’année suivante, surtout si le prof ne prend pas la peine de vérifier dans quel domaine se trouvent les lacunes. Certaines matières et connaissances sont un peu comme une maison, si les bases sont fragiles, ça va mal tenir au-dessus, il faut donc revoir les bases. Certains programmes informatiques ont cet avantage, ils voient où les résultats sont faibles et obligent à reprendre cette partie du cours jusqu’à réussite des exercices : l’apprentissage sur ordi n’est pas la panacée, mais peut être un bon complément pour le soutien individualisé.
Je pense que les nuances entre le A+ et le 20 parfait sont assez loin des préoccupations quotidiennes des profs, des élèves et des parents ! Par ailleurs, si vous collectionniez les A+, il n’aura échappé à personne que vous étiez une flèche... Les deux ans où j’ai connu ce système, il n’y avait aucune ambiguïté sur la « hiérarchie » même sans notes ; si ensuite un élève veut se tester dans l’excellence, de nombreuses filières ultra-compétitive n’attendent que ses talents !
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