La deuxième victime de Kerviel, c’est l’Etat donc les contribuables : les 5 milliards de pertes de janvier 2008 ont été passés de façon rétroactive sur l’année précédente avec l’accord de Bercy ce qui a divisé par 2 les bénéfice de la SG pour 2007 soit une perte d’impôts de 1,5 milliards.