C’est un très mauvais outil dans ce rôle, du fait de son extrême complexité phonétique peut-être, mais surtout du fait de son extrême complexité grammaticale (surtout la construction de phrase).
Les publications en anglais exigeant naturellement que les constructions grammaticales utilisées soient parfaites, c’est-à-dire celles que seul un anglophone de naissance possède, puisque le style exigé n’est pas contenu dans un ensemble de règles identifiable.
C’est pratique, non ?
Je vous assure que c’est vrai.
S’il y avait à choisir une langue commune, je choisirais le français. Ou l’espagnol. Ou pourquoi pas l’esperanto, sauf que je ne suis pas convaincu qu’une langue artificielle puisse faire l’affaire. Ou peut-être est-ce parce que l’on ne reconnait pas de mots français (ou approchant) quand on lit de l’esperanto. On dirait du javanais.
Pourtant je croyais qu’il s’inspirait de beaucoup de langues. Son créateur parlait-il français ? Sinon ça expliquerait la difficulté de seulement voir de quoi il est question dans une phrase en esperanto.