Complément : en espéranto, non seulement il y a moins de racines à apprendre, mais on peut également former des mots absents en français - et néanmoins compréhensibles. Puisqu’on parle des animaux, voici un exemple parmi tant d’autres : il y a lièvre, hase, levraut - mais pas « levraute ». En espéranto, il suffit d’apprendre « leporo » (lièvre) et ensuite former les dérivés : leporino (hase), leporido (levraut), leporidino (levraute).
En français, quelque chose peut verdoyer, mais pas jaunoyer ; en espéranto, on forme les verbes à partir de toutes les couleurs.
Les délires de Rough à propos d’une secte complotiste et obscurantiste sont totalement dépourvus du moindre fondement - comme tous les délires, bien entendu.
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