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Marrant, ça...
...gardons à l’esprit que l’ignorance qui conduit le pauvre à assimiler la classe dirigeante en un monolithe amalgamé (vous savez... l’umps...) fait évidemment bien les affaires de ceux qui, dans cette classe imaginaire, tirent, en plus des ficelles, les meilleurs profits.
Un marchand de soupe est un marchand de soupe. Un marchand de cacao est un marchand de cacao.
Pourquoi pas donc des marchands d’idées ?
On avait Attali-le-banquier, celui qui nous vend de la prospective socialo-libérale à sensation, et maintenant on a Meynard-l’humanitaire qui essaye de faire un peu de fric sur le dos de l’indignation nauséabonde qui fut sa bonne conscience... C’est vrai que les voyages à l’étranger sont devenus dangereux depuis Sarko 1er ? Je fais souvent référence à l’occidental qui sauve l’Afrique avec un contrat d’armement dans la poche et un Meynard dans sa délégation... Le miroir de Meynard doit lui renvoyer de drôle de choses...
En tous cas, d’Attali à Meynard, difficile, question charisme, de déterminer le plus repoussant des deux. On gagne rarement à se fabriquer une bonne conscience en la construisant sur la mauvaise conscience qu’on cherche chez les autres... Pratique, mais félon et risqué. L’aura s’en ressent.
A mon humble avis, à nous pondre une nouvelle justification, et avec un titre à sensation pareil, Meynard s’est grillé, c’est aussi simple que cela. Le gnome n’est plus crédible, au suivant.
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