« Et si on avait parlé du Contrat Nouvelles Embauches, de la précarité généralisée... aux salariés français d’il y a trente ans, ils auraient peut-être pensé à un coup d’état militaire. Mais ils auraient sans doute écarté cette hypothèse, car la dernière période de la dictature franquiste n’avait pas connu une telle situation sociale. Pour en arriver à l’état de la France actuelle, il faut que quelque chose de bien pire se soit produit. »
Elémentaire.
A l’époque, malgré Franco, il y avait en Espagne des militants qui bravaient la prison, un mouvement syndical fort, clandestin, qui prenait des risques énormes... Rien à voir avec lmes superguignols de la politique et du syndicalisme français actuels.
Et, de son côté, l’oligarchie espagnole cherchait à cumuler un maximum de capital et ne pratiquait pas une politique de délocalisations, cherchant surtout à se placer parmi les puissants de la future Europe, ce qu’elle a fort bien réussi.
C’est sûr que la situation sociale de la France actuelle est mille fois pire.
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