Michel Santi,
je nen attendais pas davantage venant de vous.
Mais vous aurez compris : je me moque de la notation de la France par les agences ; ça peut bien affoler les créanciers, là n’est pas ma question.
Les dirigeants européens, au lieu de rassurer les marchés et de leur tenir tête, semblent au contraire souffler sur les braises. Et là, je m’interroge.
Mais bien sûr, j’ai ma petite idée : la destruction de l’Etat social et de la démocratie n’est pas le fait de la dette et ses sales notes, mais l’inverse.
Et ça c’est bien plus insoutenable que la dette.
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