Ce raisonnement, du moins dans sa conclusion, me semble témoigner soit d’une pétition de principe douteuse, soit d’un manque d’imagination.
Ce n’est pas parce que d’autres alternatives que le « vote blanc » n’ont pas été envisagées qu’il est prouvé qu’on ne pourra jamais en inventer de pertinentes.
Encore fraudrait-il faire l’effort de les chercher ... et d’en débattre.
Que diriez-vous de cette piste de réflexion ? :
évaluer officiellement les « votes contre » (et non plus les « chèques en blanc » ! ) et, en fonction, ajuster la durée du mandat !
( D’autres pistes sont imaginables, ... mais je choisis ici celle-ci pour montrer que l’écueil d’une instabilité élective pourrait être plus ou moins corrigé : le temps d’un mandat plus court pouvant être mis à profit pour trouver des candidats plus proches de leurs électeurs ...)