Cinq ans à attendre mieux, sans se désunir et sans mourir de la crise, beau défi. Ah bien sûr, si c’est possible, si y’a pas mieux, s’il semble possible de se reprogrammer à ce terme et de faire autant briller les yeux que dans le rassemblements du FDG... Mille pardon pour ma mélancolie.