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Je n’aime pas les termes « ANTI » et « PRIMAIRE » ! Dans les deux cas ils suggèrent la passion, la subjectivité, l’émotion, et relativisent des arguments et des faits délictueux parfois avancés, un peu comme si un juge déroulant un acte d’accusation, ses derniers attendus qualifiait de même ce magistrat de « anti » ou de « primaire », alors qu’il ne fait qu’énoncer une liste de reproches avérés, et qui ne ressortent pas de la passion...
Si vous suivez toute la littérature sérieuse évoquant les années Sarkozy, vous constaterez qu’il y a matière à faire hurler tout républicain qui se veut comme tel !
Les 16 journalistes sur ARTE qui parlèrent de Sarkozy émirent de désastreux qualificatifs sur not’ président : étaient-ils primaires lorsqu’ils donnaient certes une opinion mais étayée sinon développée !!!
Aimer ou pas est une autre affaire, par contre entre le juste et l’injuste il n’y a pas de « primaire » ou « d’anti » qui compte, sauf à vouloir faire de la rétorique à la Copé et Morano and co !
Cela dit, nous n’étions plus habitués au calme, un peu comme avec l’air pur revenu on s’endort un peu mais peut-on s’en inquiéter, le regretter ???
Salutations.
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