« Il ne semble pas avoir été trompé, le taux d’intérêt était très bas si je me souviens bien. »
Comprenons-nous bien, contrairement à beaucoup des personnes qui ont réagi, je ne dénonce pas un monde capitaliste ou libéral ou autre. Je ne dénonce en fait rien. Et je ne laisse même pas entendre que le jeune qui souscrit un prêt se fait tromper. Et même avec un taux près de l’usure, si on sait ce dans quoi on s’engage, il n’y a pas tromperie.
Comme je dis dans l’article et dans mes réactions aux commentaires, je sais bien que les prêts étudiants existent depuis longtemps et qu’on ne souscrit pas un prêt « juste pour voir », « juste pour rire » ou parce qu’on en a une forte envie. Et si, comme l’a dit Alinea, il y a « des tas de fils à tirer », il y a un monde entre ce que j’ai écrit et l’idée même d’une tromperie.
Je m’étonne simplement que de deux choses qui m’inquiètent : 1- que ça paraisse rentable au point que la SG fasse une pub télévisée (qui plus est, mais je ne l’avais pas dit dans l’article, à des horaires de grande audience) et 2- l’attitude « pourquoi s’occuper de ça maintenant ? On verra ça après. » qu’il me semble percevoir dans l’air du temps.
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