La société capitaliste a modifié l’être humain dans ses habitudes de vie. Le capital se nourrit du capital, cette course aux profits a créée les conditions d’une marchandisation de la société et du Vivant.
Auparavant (et encore dans de faibles
régions du monde), le temps de travail était moins important sur
une semaine, moins de 20% du temps libre, c’est à dire en dessous de
20 heures de travail par semaine.
La situation de vie était plus ou
moins proche de l’auto-suffisance. Les prix étaient bas, et étaient
marginal sur l’ensemble de la société. Un conflit ou un autre
événement (ex : climatique) aurait à terme les mêmes répercussions
: rationnement ou pas, selon les époques anciennes ou d’aujourd’hui.
Pour que le capitalisme puisse
fonctionner à l’état d’une société, il lui fallait non suelement
des lois, la capacité de créer de la monnaie, mais pour être
productif et très présent, changer le temps de travail.
Ainsi le temps de travail a occupé la
semaine entière, de manière obligatoire pour avoir un revenu. Car
cette abondance productive va inonder les marchés, et obliger
l’individu à respecter le temps de travail choisi, n’ayant que peu
ou pas d’alternative. Ce temps de travail va être étendu dans tous
les secteurs d’activités de la société.
Cette hausse du temps de travail va
être (parfois) suivi d’une promesse d’une augmentation de ses
revenus, par rapport à une société non capitaliste. La société
va passer d’un mode de vie à bas prix, à une hausse des prix pour
expliquer l’augmentation de revenu souhaité, tout en exigeant des
rendements de plus en plus élevés même s’ils deviennent
insoutenable, à la fois en quantité et fiancièrement.
Après une législation du temps de
travail (élevée) sur tous les secteurs d’activités, la hausse des
prix et l’abondance des produits créent une marchandisation de la
société (produits fabriqués,ect...) et du Vivant
(agriculture,ect...).
Il y alors une dépendance individuel
et collective au fonctionnement de l’économie financière
(monétaire). Par l’ouverture des frontières et un afflux massif
d’importation, la dépendance n’est plus locale, et ne permets plus
d’être plus ou moins proche de l’auto-suffisance.
Une autre dépendance est celle de la
hausse des prix, qui ne peut plus permettre à l’individu de survivre
- financièrement- (hyperinflation). L’endettement individuel ou des
pouvoirs publics profitent de nouveau au capital. C’est pourquoi
certains comme les Indignés aux Etats-Unis ont parlé des 1% qui
concentrent les richesses.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération