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sirocco 5 novembre 2012 21:21
sirocco

L’effondrement de l’Espagne après celui, plus impressionnant encore, de la Grèce et avant celui attendu d’autres pays, n’est nullement un signe de faiblesse du capitalisme mais au contraire une conséquence de sa formidable hégémonie. Regardez comme les financiers s’affairent avec délectation au chevet des malades !

Le peuple souffre ? Et alors ? C’est là son destin. Les riches, les banquiers, les actionnaires, les spéculateurs espagnols, grecs ou autres... eux ne disent rien. Vous ne les entendez pas se plaindre. La crise va permettre à la plupart d’entre eux sinon de s’enrichir, du moins de s’en sortir sans mal. Ils auront toujours accès à une éducation de qualité pour leurs enfants et à tous les soins. Comme dit l’adage : le malheur des uns fait le bonheur des autres.

S’il y a quelque chose qui n’existe pas dans le capitalisme, c’est bien la morale.



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