Ceci aussi pour alimenter la réflexion (et éviter la tentation de la réduction...) :
Commentaire sur un bon article paru en début d’année
extrait de « l’histoire universelle des chiffres » :
« En fait, on sait aujourd’hui (mais on l’a définitivement montré que depuis les années 1950) que les problèmes dont la solution est exprimable sous la forme d’un algorithme ne constituent qu’une classe très particulière de processus intellectuels (à savoir qui sont de nature calculatoire), et qu’il existe même une variété considérable de problèmes inaccessibles aux machines de Turing (et donc aux ordinateurs, qui comme le prouvera ultérieurement le mathématicien John von Neumann, ne sont autres que des modèles finis de l’automate algorithmique universel de Turing, ....voir p 685-686) »