Sur la dignité et la façon dont elle s’inculque, je n’ai évidemment aps de solution, mais effectivement, si siffler est un droit qu’on ne perd pas dans les lieux de mémoire, ce qu’on peut y perdre, c’est l’estime. L’estime des autres, l’estime de l’enseignant ou de l’accompagnateur... L’estime de soi, aussi... Est-ce que vous mettez le contenu de ces mots dans ce que vous appelez « dignité » ?
Ne sont-ce pas là des arguments audibles même par les perturbateurs dissipés ? N’ont-ils pas assez le sens gréagaire pour que l’estime des autres leur soit indifférent ? Je n’ai rien contre l’idée de se singulariser, mais tous les droits et toutes les libertés ont pour contrepartie qu’on est jugé à la façon dont on en use. Est-ce ce levier qui manque à certains ? Les autres ont-ils validés cette façon de se singulariser en y répondant par l’ostracisme, par la mise à l’écart, par une désapprobation lisible dans les postures ou les regards ?
Quoi qu’il en soit, bon courage et merci de l’initiative autant que du compte rendu que vous en faites.
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