Dolores
Madame, vous me faites très mal.
C’est la troisème année que je conduis des groupes réfléchir sur ce qui se passa dans le Loiret il y a si longtemps pour vous qu’il ne faut plus en parler. Chaque année, il y avait dans mes élèves un descendant des Tsiganes internés à Jargeau jusqu’en décembre 1945 (ça ne vous dit rien cette date !) Alors, non, je n’oublie pas ce peuple martyre lui aussi et votre remarque est particulièrement humiliante.
Chaque fois la viste a été préparé en rappelant ce point essentiel.
Merci de ne plus l’oublier.