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subcommandante
8 février 2013 21:52
la femme est donc « prisonnière de ses passions », « facilement influençable », à l’inverse de l’homme qui, lui, est tout à fait maître de ses passions, et pas du tout influençable, mais sinon, le Coran ne fait aucune différence, pas vrai, le correcteur ?
Pétard, on en tient un bon, là
--->tout à fait 
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