Vers chez moi à Paris, plus un seul « petit orchestre » au troquet du coin, ou d’amateurs au coin des rues : la tendance est ancienne et est arrivée à sa conclusion logique l’année dernière - encore confirmée cette année - que la fête de la musique ce n’est plus que de la grosse sono assourdissante qui vomi sa « musique » électronique.
Je me rappelle un temps pas si lointain - moins de dix ans - ou les amateurs de tous styles commençaient à jouer dans les rues dès l’après-midi et où les bars payaient d’assez bonnes formations, faisant de chaque coin de rue un bal populaire à ciel ouvert...
Encore une fois, la médiocrité et la laideur l’ont emporté...
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