Pour certains journalistes c’est du pain béni cette guerre en prévision
nous allons encore avoir des envoyés spéciaux qui filment depuis le toit d’un hôtel d’ou ils sont en résidence protégée, de nuit avec des lueurs blafardes, et surtout une voix courte, comme si le dernier repas pris avait un goût de scène biblique.
Ces intermitants de la pensée urbaine sont prêt à tout pour fourrer l’oeil de leur caméra, histoire de gagner leur titre de « Grand reporter » même à manipuler les faits....si ça peut leur donner un travail futur.
c’est si dur en France de vivre, alors montrons comme il est si facile de mourir à l’étranger.