L’écologie politique de gouvernement est au delà du scepticisme démographique : elle est carrément nataliste.
De plus, par son choix désastreux de choisir la gauche plutôt que de rester au centre, puis par son virage à l’extrême gauche (Islamophilie, PMA, GPA et j’en passe...) cette organisation a provoqué un rejet durable de l’écologie chez une majorité de nos concitoyens (Bonnets Rouges et Cie...).
Son désastre annoncé aux prochaines élections européennes, où elle sera très loin de ses 16,5% de la dernière fois, sonnera-t-il le glas de cette façon d’agir ? Une recomposition du paysage écologiste français autour des notions de population serait en tout cas salutaire...