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Gaspard Delanuit 5 janvier 2014 10:31
Qaspard Delanuit

Le fait de pouvoir énoncer des contradictions ne les rend pas vraies. On peut écrire « un triangle peut avoir 4 côtés et il n’y aura pas plus triangle que lui », ça ne coûte rien de l’écrire. Mais ce qu’on peut toujours écrire, on ne peut pas toujours le faire exister. 


Si un prétendu athée participe à des rites religieux, ou bien il n’est pas réellement athée, ou bien c’est un tartuffe, que voulez-vous que je vous dise de plus ? En étant très bienveillant on peut imaginer quelqu’un qui jouerait le dévot pour plaire à sa famille, sans intention de nuire, mais c’est pour le moins le signe d’une grande faiblesse de caractère. 

Qu’est-ce que le « projet juif » ? En quoi Trotski était-il particulièrement juif ? Pour moi, il ne l’était pas du tout. Il suffit d’ailleurs de lui demander ce qu’il pense de son « origine juive ».

« Dans son autobiographie, écrite en 1929, Trotsky affirme que la question nationale si importante dans la société russe, n’eut « pratiquement aucune importance » dans sa vie personnelle. En dépit de ses origines juives - communes a un grand nombre de révolutionnaires russes et polonais de son époque, de Zinoyiev (Radomilsky) à Kamenev (Rosenfeld), de Martov (Tsederbaum) à Axelrod, de Radek (Sobelsohn) à Rosa Luxemburg -, il n’apprit jamais a lire le yiddish et ne consacra aucun ouvrage important à la question juive. »



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