@ Kalon
Comme si bien dit : en droit naturel la question ne se pose pas : on ne peut être complice du mal. Dansla vie de tous les jours, il y a une casuistique a établlr. L’individu peut-il moralement assurer sa survie et optimiser, voire maximiser sa scapacité d’action par tous les moyens en le justifiant du bien qu’il peut faire, plus grand que le mal auquel il participe .... ou doit-il s’en ternir strictement a la moralité de chaque geste, s’en remettant à une force supérieure pour assurer la victoire du bien ? Je crois et j’ai dit souvent que chacun ne peut avoir que sa propre conscience pour guide. « C’est dans cette optique qu’un contestataire.un indigné, un rebelle ou un révolutionnaire devrait voir son action et chacun de ses gestes, puis assumer ses responsabilités, leurs conséquences et son propre destin »
PJCA