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eric
10 octobre 2014 10:32
Alors que le pouvoir socialiste se bat chaque jour pour tenter de préserver le pouvoir d’achat de la base sociale des gauches, PRCF compris. Alors qu’il n’hésite pas pour cela à sacrifier les pauvres, les prolétaires, les entrepreneurs, et d’une manière générale tous les autres et le pays dans son ensemble, on pourrait attendre du PRCF qu’il se calme un peu dans ses péroraisons d’un autre âge pour se consacrer à la solidarité de classe avec ce pouvoir.
Exactement comme prévu, le maintient des retraites du PRCF passe par la paupérisation des pauvres et des travailleurs. On le savait d’avance.http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/absence-de-changement-les-116951
Un reportage sur la 2 hier le confirme.
Le conducteur qui renonce aux heures sup. parce qu’avec les impôts socialistes, cela lui laisse 160 euros par mois pour manger. La retraité qui ne dort plus à cause de son IR et à qui on apprend qu’elle va avoir droit en plus, aux taxes habitation et foncière plein pot en prime. La vielle dame du Loir et Cher qui hésite entre faire de ménage ou émigrer au Maroc.
Face à cet « effort social » sans précédent, les forces de la réaction se réveillent (87% de désapprobation) et le PRCF perd son temps et le notre à se demander quel prix Nobel il voudrait attribuer à tel ou telle personne qu’il n’aime pas au lieu d’appuyer la lutte fiscale pour faire payer les fins de mois des gauches sur le dos des petits retraités et des travailleurs.
On regrette l’inexistence d’un prix Nobel de l’inutilité politique ou de l’humour gras. Il serait sans doute attribué d’office...
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