Oui, Luc-Laurent : nous vivons la subjectivisation des discours. On ne saisit plus les arguments, que, de toute façon, on a tendance à relativiser, et l’orateur devient le seul critère d’évaluation. Ce qui revient d’une certaine façon à « sentimentaliser » tous les échanges. D’où l’intérêt de la sophistique.
Cela me rappelle le conseil d’un maître médiéval à ses étudiants : « Ne regardez pas à celui qui parle, mais tout ce que vous entendez de bon, confiez-le à votre mémoire »
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