Cette constatation du »déclin de l’Occident" (ce dernier terme est néanmoins trompeur, quel rapport entre l’Occident médiéval et l’Occident postmoderne qui n’a rien de géographique ?) qui est une critique des modernités, n’est pas neuve, mais elle est toujours d’actualité. Elle est simplement renouvelée parce qu’il y a des maladies qui couvent longtemps avant de se manifester pleinement avec leurs cortèges de souffrances inouïes.
Spengler, Guénon, Evola, Eliade, Bernanos, Maurras, certains penseurs des socialismes, Ivan Illich, Jacques Ellul, voire Lévi-Strauss parmi d’autres se rejoignent dans cette critique plus ou moins profonde du « monde moderne », certains restant à la surface des choses et tous ne s’accordant pas forcément pas sur le moment où l’histoire aurait déraillé.
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