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Nombreux bizarreries dans ce crash :
L’avion a amorcé une descente inexpliquée une demi-heure après le décollage, à 9h30. A 10h 47, alors qu’il était à 1500 m à peine, le contrôle du trafic aérien (pas les pilotes) émet un signal de détresse. L’avion s’est crashe quelques minutes plus tard.
Vu que l’altitude normale du vol est autour de 10 000 m, on peut se poser la question si les pilotes étaient conscients au moment du crash. La même compagnie a déjà eu un problème il y a 3 ans, dans un vol de Vienne à Cologne : la fumée toxique a envahi le cockpit, les pilotes à moitié conscients ont réussi à poser l’avion, les passagers n’en sauront rien. On a trouvé un joint défectueux, les gaz échappement du moteur avaient pénétré le cockpit. Vu que l’airbus accidenté avait 25 ans de bons et loyaux services au compteur, il est tout à fait possible que les joints n’étaient pas très étanches. D’autres cas sont en effet connus, certains pilotes souffrent des malaises, nausées et prennent une retraite anticipée.
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