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Ce qui est arrivé aux américains ne serait pas arrivé à des pilotes Français. En 1948 ceux qui n’avaient pas fait « l’école des remous » de Thoret-Mont-Blanc ne se seraient jamais risqués au dessus des montagnes car les risques étaient connus.
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Maintenant l’aviation est devenue très différente. Je trouve donc le parallèle avec ces vieux événements assez hasardeux
mais aucune supposition n’est idiote au départ, quitte à l’évacuer
rapidement ! Les gros avions volent très haut et leur puissance suffit à leur sécurité dans la mesure toutefois où les pilotes comprennent la situation. C’est justement le défaut des Airbus avec lesquels des automatismes remplacent une part de leur travail. Ces automatismes se font parfois avoir comme dans l’accident du Mont-Sainte-Odile. Par ailleurs, avec ce nouvel accident, on a l’impression que les pilotes ne se sont rendus compte de rien... Ne se sont inquiétés de rien... Troublant non ?
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