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gogoRat 8 août 2015 12:08
gogoRat

En matière de morale, s’il existe une ’dissonance cognitive’, il ne suffit pourtant pas de ne pas s’exprimer (même sans parler ...) pour s’affranchir de tout ’langage dissonant’.
 
C’est cette réflexion qui me pousse à intervenir ici ... quitte à ce que cela semble plutôt ’décalé’.
 
 Jusqu’à quel point le fait de s’exprimer, autant que refuser de le faire est-il un acte intentionnel ? perçu ou non comme tel ? (idem concernant la foi accordée ou non aux témoignages d’autrui - les jugements émis étant des faits bien plus tangibles que les intentions prêtées à autrui ... sachant qu’on ne prête que ce que l’on a = çui qui dit c çui qui y est )
 « Facts do not cease to exist because they are ignored. » - Aldous Huxley
 « 
Esse est percipi aut percipere »
 Qui saurait en décider pour autrui ?

 
’ la variabilité des morales est même intra-individuelle : « en fonction des moments, des situations, les individus ne réagissent pas de la même façon, et n’ont donc pas le même niveau moral » ’
 
 Si le jugement moral a tout l’air d’un terrain glissant, (surtout lorsque les juges s’en croient seulement spectateurs), Lapalisse serait peut-être arrivé à cette même conclusion (http://pierre-janet.com/JSarticles/2006/ismt06a.htm) :
la morale a à voir avec le moral.



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