@Sozenz
mais laisser la porte grande ouverte au licenciement, c est totalement inconscient .
Actuellement le droit de licencier est flou ce qui fait que pour le patron il existe un risque réel quand on se sépare d’employés. Et le risque peut aller beaucoup plus loin que la simple indemnité. Aussi pour éviter ce risque le patron réfléchit à deux fois avant d’embaucher et c’est comme cela que l’emploi est bloqué (+20000 pour ce mois).
Je ne dis pas qu’il faut une liberté total de licencier, mais qu’au moins en face de chaque cas de figure il y ait une autorisation ou pas et le montant de l’indemnité.
Un simple exemple : Si un repreneur arrive avec son staf (c’est son droit), les anciens cadres n’ont donc plus d’utilité et bien s’il les licencie c’est laissé à l’appréciation des prudhommes autrement dit il joue à pile ou face avec sa société. Devant ce cas que fait-il ? et bien il ne reprend pas la société qui par manque de fond propre dépose le bilan et il la reprend en liquidation. Cette dernière laisse un passif aux URSAFF et ailleurs et lui peut licencier « économiquement » parce qu’il a préféré le tribunal de commerce au tribunal des prudhommes. Ca s’appelle jouer contre son camp
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