La grosse différence
entre Nicolas Batum et Carlos Ghosn, c’est que le public paie,
volontairement, pour avoir le plaisir d’admirer le basketteur
déployer son adresse, son talent, et faire gagner leur équipe
préférée.
Alors que Ghosn « se sert dans la caisse » avec l’appui du conseil d’Administration et comme les autre parasites qui, parce qu’ils s’enrichissent en dormant, sont justement appelés « actionnaires », « caisse » qui est constituée par la vente de véhicules fabriqués par une armée de travailleurs exploités.
Et que l’on ne dise pas que ce salaire proprement dément récompense un talent exceptionnel pour « redresser » l’entreprise : il existe des milliers de cadres issus d’écoles de commerce ou de gestion qui pourraient en faire autant pour un salaire d’ingénieur.
Nicolas Batum comme Jean-Jacques Goldmann dont on a également dénoncé les revenus, sont irremplaçables eux.
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