Qu’on le veuille ou non, le mouvement GJ comporte de nombreux courants, les « constructifs » (ou autre dénomination) considèrent que l’étape suivante est institutionnelle, alors que les radicaux veulent poursuivre l’épreuve de force. Il n’y en n’a pas de plus authentiques que d’autres, mais aucun ne peut prétendre représenter l’ensemble du mouvement. Le pouvoir a bien évidemment intérêt à jouer sur la division, à instrumentaliser les uns contre les autres, tout comme il l’a fait avec sa mesure catégorielle de « prime d’activité », sans changer à la base la répartition des revenus entre capital et travail, ni les prélèvements sur les profits.
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