@Arthur S
Ensomme, les calvinistes seraient hutchesoniens, et les financiers de la City, de Wall-Street, de Francfort, de Palais Brognard et de Shanghai
seraient mandevilliens.
Le premier prône la Common decency chère à Orwell ; pour le second nos vices sont des vertus.
Pour Mandeville le vice qui conduit à la recherche de richesses
et de puissance, produit involontairement de la vertu parce qu’en
libérant les appétits, il apporte une opulence supposée ruisseler du
haut en bas de la société.
Sur ce sujet, voir aussi, entre autres, l’ouvrage de Lysander Spooner, anarchiste individualiste américain (libertarien) : « Nos vices ne sont pas des crimes », qui soutient que les seuls véritables criminels sont les tyrans qui veulent empêcher un être humain de rechercher le bonheur et la connaissance par tous les moyens qui lui semblent bons.
Cette idéologie qui s’est répandue comme la peste dans les milieux bobos de la planète occidentale est la base du néolibéralisme.
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