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Trelawney 27 mars 2019 20:21

Mais où donc a pu glisser cette victoire soviétique de 1945, à laquelle la France avait tout de même fini par se trouver associée ?… Où ont glissé les travailleuses et travailleurs de la production, qu’ils soient allemands ou d’autres pays d’Europe ? Quelle place pour leurs enfants ?… Quels outils de production seront laissés à ceux-ci pour qu’ils ne soient pas très vite poussés à la rue par un crédit impayé et impayable ?…


Avant la seconde guerre mondiale, les ouvriers et employés travaillaient pour un patron à construire des produits qu’ils n’utiliseraient jamais. Ce système a trés vite trouvé ses limites et le patronat a vite compris qu’il ne pourrait se développer autrement que par la guerre (source de profit) de la même manière qu’il s’est enrichit lors de la première guerre mondiale.

Avec la fin de la seconde guerre mondiale et un nombre de victime et des destructions jamais vu jusque là, le patronat a compris que ça n’était plus la solution. Le capitalisme américains s’est mis en place. L’ouvrier et l’employé est devenu consommateur et s’est mis à acheter ce qu’il fabriquait y compris son logement et cela grâce au crédit accessible à tous.

Comme ce monde capitaliste ne crée pas assez de richesse pour alimenter la machine, il invente cette richesse en fabriquant de la monnaie et s’entraide entre pays pour stabiliser cette économie uniquement baisée sur l’endettement.

Dans cette conjoncture, les métropoles s’agrandissent et tels des aspirateur à richesse, aspirent tout ce que possède les petites villes (entreprises, banques, commerces) pour accaparer la richesse vers eux et ainsi continuer à vivre.

Ces métropole se nomment Londres, New york, Los Angeles, Hong Kong, Shanghai , Singapour. En France il y en a 3 Paris, Lyon, Lille. Toutes les autres villes françaises sont condamnées à être des satellites de ces 3 métropoles et à voir leur économie se réduire comme peau de chagrin


C’est pour cela que le coût du logement, comme le reste augmente dans ces trois villes et qu’ailleurs ca stagne ou ca baisse. L’ouvrier ou l’employé n’a plus les moyens d’habiter les centre villes de ces agglomérations et bientôt n’aura plus les moyens d’habiter la proche banlieue.

Avec des taux stabilisé aucune raison que cela s’arrête et les fameuses classes (ouvrières, moyennes, riches) vont disparaitre au profit de deux catégories : les chanceux et les malchanceux




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