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@pemile
D’après les relevés, contrairement à ce qui s’est passé par le passé, le changement de cap est inédit, très rapide et n’a rien à voir avec les périodes de glaciation et de réchauffement qui étaient plus longues à s’amorcer. Ce qui laissait le temps à des espèces de s’adapter, ou de monter, contrairement à l’époque actuelle, où les arbres et végétaux semblent tétanisés, et meurent. Même les hêtres en bretagne sont en choc hydrique l’été, et beaucoup ne survivent pas. Cette vitesse est un argument supplémentaire mettant en évidence l’importance du facteur humain...Quant on prend de l’age, on ne peut que bouleversé par les changements imposés à la nature, alors que partout le ciel devient gris, et que la visibilité ressemble à celle de Londres sous le fog industriel au dix neuvième siècle. Je me souviens des cieux d’asie, bleu émeraude, dans ces années 70 si lointaines à tous points de vue. L’image que j’en vois à la tv est consternant, alors que les gens avancent, virus ou non, avec un masque sur le nez. Nul envie de prendre la route maintenant. Et malheureusement ce n’est pas un effet de l’age, mais in réflexe de sauvegarde
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