Signaler un abus

Pere Plexe 29 janvier 2021 08:42

A la suite de la lecture de cet article on est bien avancé.

Que Poutine ne soit pas un enfant de chœur je n’en doute pas.

Que les libertés ne soient pas au standard occidental aussi.

Mais ça ne fait pas de Navalny ce que nos médias en font.

En particulier son statut d’opposant numéro un est complètement bidon.

80% des russes désapprouvent son action.

Et sur son supposé empoisonnement beaucoup trop d’incohérences restent sans réponses.

Pourquoi avoir choisi un poison des années 70 qui, selon nos médias, serait la signature du Kremlin ?

Pourquoi ne pas avoir « fini le travail » lors de son hospitalisation à Omsk ?

Quel bénéfice à tuer un type qui est à 2% d’intention de vote ?

Est ce un hasard si cette « affaire » intervient à un moment crucial pour l’achèvement de North Stream 2 ?

Peut on sans être taxé de complotiste rappelé que ce type passé par le Yale World Fellows à peut être d’autres motivations que le seul intérêt des Russes ?

Lire le commentaire dans son contexte

Répondre Signaler un abus