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Olivier Perriet 24 février 2021 11:31
Olivier Perriet

les hôpitaux publics ne disposent pas assez de lits pour accueillir les malades nouveaux potentiels.

Aucun système au monde n’est dimensionné pour accuillir des dizaines de milliers de malades placés en réanimation pendant des semaines, et dont 40% finissaient d’ailleurs par mourir en mars avril. C’est comme faire subir un tremblement de terre au système de santé, sauf qu’il durerait 1 an au lieu d’1 jour.

Les malades sont contraints de rester chez eux, en priant le Ciel que le Doliprane fasse un miracle

Lorsqu’on a la grippe les médecins n’ont d’autre remède que le Doliprane. Pourquoi n’en serait-il pas de même avec le covid ?

Les citoyens non malades sont priés également de rester chez eux le plus possible : mesures dites de « confinement » et mesures dites de « couvre-feu ».

Cette mesure a été réclamée, et continue de l’être, par de nombreux professionnels de la médecine, qui ne veulent pas être tenus responsables des décès hospitaliers. Si les gens meurent hors de l’hôpital, eux n’y voient rien de mal.

Conséquences partiellement compensées par des aides faisant grossir « la dette » L’orthodoxie doctrinale est ici encore parfaitement respectée puisque le système de financement de l’Etat par de la dette n’est pas remis en cause (1).

Emprunter revient au même que de faire marcher la planche à billet.

 
Les médias, au moins ceux qui ont favorisé l’installation de l’équipe au pouvoir, ont largement prêté la main aux opérations.


Bonne excuse universelle des mauvais perdants : « c’est à cause des vilains médias ». Aux USA ou au RU, c’est comme ça qu’on explique l’élection de Trump et le Brexit. De même que la non réélection de Trump (« Fox news, c’est plus ce que c’était ») ou l’élection de Macron, en sens inverse.



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