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@vesjem

Effectivement vesjem, je partage votre approche de la situation. 

La « communication anxiogène » concernant le virus SARS-COV2 passe par la diffusion de l’information sur le nombre de « cas ». On remarque que, plus que les morts (puisque finalement ils ne sont pas si nombreux que ça), c’est l’augmentation du nombre de « cas » qui fait frémir dans les chaumières, qui active les sirènes du « danger potentiel », qui « autorise » toutes les mesures privatives de liberté. C’est un « indicateur » puissant « the indicateur » d’ailleurs, pour le gouvernement. 

Et, de ce point de vue, la supercherie, la manipulation et la mystification touchent au sublime ! Les médias de masse propagandistes se régalent à nous « partager » les chiffres anxiogènes, sans jamais poser la question qui fâche : quelle réalité derrière le nombre de cycles ?

Parce que, en effet, le nombre de « cas » découle du nombre de tests « positifs ». Plusieurs interrogations peuvent ainsi voir le jour : 
— Plus on teste la population, plus on trouve
— Quelle est la fiabilité de ces tests ? 
— Quel est le nombre de cycles retenu pour « valider la positivité » du test ? 

Et, comme vous le soulignez, 45 cycles, ce n’est pas 35, ni 30 ni 25 ! Et c’est ainsi que cet « indicateur » du « nombre de cas » est devenu un outil aux mains des apprentis dictateurs. Une mystification planétaire au service des puissances de l’argent qui visent un remise à plat du modèle économique actuel. Les guerres ont toujours permis la relance économique. La guerre « sanitaire » actuelle, même si c’est une guerre pour de rire, est à visée économique et plombe sérieusement nos libertés individuelles. Ce qui est aussi l’un des objectifs de cette supercherie, surveiller de près la population : QR-code, application covid, passeport sanitaire, puce sous-cutanée, et, enfin, au bout du bout, les nanoparticules « personnelles » injectées !

La « fenêtre d’Overton » cela se travaille ! 

https://www.20minutes.fr/high-tech/2680019-20191220-le-mit-met-au-point-un-carnet-de-vaccination-sous-cutane