LES FAITS HISTORIQUES QUI DÉRANGENT
On sait maintenant que le slogan « Une terre sans peuple pour un peuple sans terre » n’était qu’une tromperie sordide ! Loin d’être un désert, il y avait là-bas des centaines de villes et villages, des cultures prospères, des jardins, des êtres humains de religions diverses.
Lorsque les forces britanniques d’Allenby sont entrées en Palestine en 1917 pour libérer sa population du joug de la domination ottomane, les Juifs en Palestine étaient une petite communauté ne dépassant pas les 56.000 âmes.
En 1944 , un peuple de plus d’un million d’humains vivait sur cette terre et la cultivait ![1]
Selon les archives du Mandat Britannique qui va de 1920 à 1948, les Juifs possédaient à la fin du mandat 1.490.000 dunams (dunam = 1000 mètres carrés) des terres de Palestine. Cela représente 5,5% de la Palestine, ou 7% de la superficie d’Israël (20.250.000 D.).
Donc 93% de la surface d’Israël sont des terres palestiniennes où les Palestiniens vivaient depuis des siècles. Ils détenaient la terre selon la loi islamique, sous diverses classifications de propriété, mais elles étaient toutes prévues pour le bien du peuple
Ainsi, sous le Mandat Britannique, les Juifs grâce à l’immigration, ont réussi, à la fin du Mandat en 1948, à accroître leur nombre à environ 600.000 personnes (soit 30% de la population totale).
[1] 752 048 personnes selon un recensement anglais de 1922 et de plus d’un million en 1944 selon le « Palestinian Academic Society for the Study of International Affairs »
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