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JulesDu13 12 septembre 2021 17:48

Article assez équilibré, même si le nombre d’effets secondaires déjà avérés des vaccins doit être un sujet très controversé, on imagine pourquoi (les intérêts vitaux des labos et des politiciens).

« Tous les spécialistes des infections respiratoires savent que les patients symptomatiques transmettent plus d’agents infectieux que les asymptomatiques, notamment en toussant. Les asymptomatiques peuvent transmettre également, car ils sont porteurs du virus, mais en pratique, cette transmission est généralement très faible voire nulle ou négligeable »

Voilà un argument que je trouve tout de même discutable. Si on teste l’infectiosité d’un symptomatique et d’un asymptomatique en les faisant tousser tous les deux et en mesurant le nombre de particules virales expulsées à une distance donnée, alors le symptomatique est probablement plus infectieux : c’est un test en laboratoire.
Mais il y a le comportement social dans la réalité qui rentre en ligne de compte : l’asymptomatique/faiblement symptomatique ne se doutera pas qu’il est porteur (il est porteur non-malade), surtout s’il est vacciné, il distribuera donc sans soucis ses germes par proximité physique et en toussant de manière anodine : car tout le monde tousse à un moment un autre pour se décrasser les voies aériennes.

Je note que vous avez une étude chinoise de 2020, en situation réelle, qui appuie néanmoins votre affirmation. Je ne ferai pas de procès en chinoiserie à cette étude, mais ce n’est qu’une étude, et elle s’applique aux variants de 2020 antérieurs à la vaccination comme vous le précisez.

D’autre part, si réellement les asymptomatiques vaccinés transmettaient extrêmement peu ou pas du tout, alors ce serait aussi le cas des plus jeunes qui sont essentiellement asymptomatiques, les vacciner pour protéger les vieux n’aurait donc guère de sens : les plus jeunes sont par nature dans la même situation qu’un vacciné dont la vaccination fonctionne.
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Et un simple point de logique. Si on ne vaccine que les personnes vulnérables, le virus peut continuer à exister chez les personnes qui ne le sont pas (la majorité des gens). Si presque tout le monde est vacciné contre un/des variants, le virus n’a plus d’autres choix pour exister que de favoriser des variants échappant au vaccin. Si cela se produit (cela se produit peut être déjà avec le delta), alors ceux que l’on voulait protéger en priorité, les personnes vulnérables, perdent tout ou partie de leur protection... On se sera tiré une balle dans le pied.
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L’ivermectine sur le long terme pourrait causer la stérilité chez l’homme : quand on a plus de 70 ans ce n’est généralement pas un vrai problème (surtout si l’on se soigne pour une maladie diagnostiquée et non en prophylaxie).



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