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@Bernard Dugué

Bonjour, suite à votre article informatif, je m’interroge.

Vous écrivez :

« La situation s’avère critique, avec une cinquième vague causée par un rebond du variant Delta et la menace du nouveau variant Omicron qui nous projette dans l’inconnu. »

Vos articles, habituellement si concis, vulgarisateurs, informatifs et pragmatiques prennent avec cette phrase un tout autre tournant.

Jusqu’à présent la « dangerosité » d’un virus se mesurait au nombre de décès qu’il engendre, à moins que désormais cette « constante » ne soit plus de mise.

Aujourd’hui nous n’entendons plus parler que de contamination, de facteur de reproduction, d’hospitalisations,etc.. bref tout un tas de paramètres, dont la finalité nous informent sur une possibilité « d’encombrement » notre système hospitalier dans certaines régions ou « grandes villes », alors que le nombre de décès lui (données santé publique France), s’établi actuellement à environ 55 morts par jours en moyenne.

Sans mettre en doute ce chiffre, les décès imputables à la bête représente à peu près 0.00008 % / jour de la population Française.

Toujours d’après le données officielles, le variant Delta représente désormais 100 % des contaminations, peut être à t-il supplanter les anciens ainsi que le virus d’origine, ou ces derniers se sont peut être « éteints ».

Bref, si il est incontestable que les chiffres publiés, entendus, etc..sont réels, la dangerosité de ce variant, paraît négligeable par rapport aux premiers.Il m’apparaît normal que l’apparition d’un nouveau virus cause d’importants décès sur une population n’étant pas « immunisées » comme au début de cette épidémie.

L’on pourrait raisonnablement en déduire, que le Delta serait éventuellement plus contagieux, mais bénin par rapport à ce qu’il nous est arrivé précédemment.

Evidemment mes propos, ne sont pas en accord avec le message officiel, préconisant une vaccination de masse, sachant pertinemment, (en considérant que ces derniers méritent le qualificatif de « vaccin’), qu’ils n’ont qu’une efficacité réelle très inférieure à celle vantée commercialement. Sauf peut être pour une certaine catégorie de personnes »à risque(s)« qui elle devrait être obligatoirement vaccinée par principe en vertu de la protection de leur vie.

Je suis d’accord avec votre conclusion, ne comprenant pas non plus cette peur et comportements totalement irrationnels tant par le Gouvernement, que par les autorités de santé, ainsi hélas qu’une grande partie de la population qui reste marquée par le traitement macabre du début de l’épidémie.

Bon »La situation s’avère critique," n’est ce pas un peu exagéré comme introduction ?

Cordialement.