Vous parlez d’un livre, mais il n’y a pas d’éditeur. (Moi, je n’ai pas de livre, alors bien sûr, ce n’est pas bien). Allez lire à l’APA, j’ai quand même beaucoup écrit.
Vous avez fait un compte-rendu tendancieux de ce livre, oubliant une dimension forte du livre, et ramenant le problème sur le binôme femme-homme, alors qu’il y a une certaine religion dedans.
Un autre compte-rendu qu’on trouve sur l’internet : « Sa mère et la deuxième femme de son père… Cette jeune fille pas encore entrée dans la pré-adolescence a subi une agression sexuelle de la part d’un cousin. (..) De toutes façons, la victime a déjà compris très jeune : « Malheureusement selon le diktat de la société kabyle, le déshonneur est toujours causé par une femme. (…) à 15 ans et demi, sa mère l’a donnée en mariage à un autre cousin »
De la même façon, M Chalot, le diktat du tribunal aux affaires familiales : l’homme est coupable, il est le bourreau de la femme, on n’a pas à s’occuper de ce qu’il a fait, ni de ce qu’il dit. J’étais donc coupable de m’occuper des enfants, de faire les courses, les repas, la vaisselle, de donner les bains et les emmener en vacances, tout cela était coupable, parce que les hommes sont coupables. On peut faire autant de mal qu’on veut à un homme, on ne lui en fera jamais autant que ce qu’il a fait aux femmes, alors allons-y.
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