@Gégène
En effet, j’avais commencé à flairer le coup au deuxième paragraphe, et comme l’auteur a persévéré (dans l’erreur volontaire), la probabilité du second degré provocateur s’est imposée d’elle-même .
Cela dit, ce genre d’article m’ennuie malgré tout, car malgré une possible satire, la flagornerie reste présente et peut renforcer l’admiration imbécile des plus vulnérables à la manipulation pour le Mozart de la finance...
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