Bonjour troletbuse,
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OUI, il s’agit d’un crime contre l’humanité.
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Le code de Nuremberg - 1947
Sachent qu’il s’agit des vaccination EXPÉRIMENTALES :
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Le « code de Nuremberg »
établi une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des
médecins de Nuremberg (décembre 1946 - août 1947) qui précisent les
conditions aux quelles doivent satisfaire les expérimentations
pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme « acceptables »
- Le
consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela
veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale
totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans
intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de
supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de
coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et
connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin
d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.
Avant que le sujet
expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la
nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes
et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les
conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa
participation à cette expérience.
L’obligation et la responsabilité
d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son
consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la
direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et
cette responsabilité s’attachent à cette personne, qui ne peut les
transmettre à nulle autre sans être poursuivie. - L’expérience
doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société
impossibles à obtenir par d’autres moyens : elle ne doit pas être
pratiquée au hasard et sans nécessité.
- Les fondements de
l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences
antérieures faites sur des animaux, et dans la connaissance de la genèse
de la maladie ou des questions de l’étude, de façon à justifier par les
résultats attendus l’exécution de l’expérience.
- L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et out dommage physique et mental, non nécessaires.
- L’expérience
ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire
qu´elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des
cas où les médecins qui font les recherches servent eux-mêmes de sujets à
l’expérience.
- Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.
- On
doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité,
si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité
ou la mort.
- Les expériences ne doivent être pratiquées que par
des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême
attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la
dirigent ou y participent.
- Le sujet humain doit être libre,
pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience, s’il estime
avoir atteint le seuil de résistance, mentale ou physique, au-delà
duquel il ne peut aller.
- Le scientifique chargé de l’expérience
doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a une raison de
croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures,
l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.
(Extrait
du jugement du TMA, Nuremberg, 1947. Trad. française in F. Bayle, Croix
gammée contre caducée. Les expériences humaines en Allemagne pendant la
Deuxième Guerre Mondiale, Neustadt, Commission scientifique des Crimes
de guerre, 1950.)